Avant, il faisait quel temps ?

Tise illimitée

On le sait que c’est pas une bonne idée, mais c’est tellement bon qu’on arrive plus à s’arrêter.

Cette énergie puisée dans la Terre, que l’on consomme sans modération, sert à faire fonctionner nos usines, chauffer nos bâtiments, rouler nos véhicules, produire de l’électricité essentiellement pour du confort. L’utilisation de ces énergies fossiles émettent de grandes quantité de CO2 et de méthane.

L’exploitation et la déforestation réduit de plus en plus l’absorption de ces gaz par les espaces naturels.

La culture et l’élevage intensif libèrent d’importante quantité de méthane, les engrais contenant du protoxyde d’azote contribuent également au réchauffement global.

Overdose

Accro à la conso, on a mis dans le rouge nos organes vitaux.

La fièvre est généralisée, les milliers de scientifiques qui oscule la santé de la terre ne nous donne plus longtemps à vivre : Notre planète se réchauffe de plus en plus, nos gaz nous empêchent de respirer, nos « poumons verts » s’atrophient, nos glaciers fondent, nos océans montent, nos espaces naturels se clairsèment, nos sols s’assèchent, notre biodiversité disparait, nos écosystèmes ne se régénère plus, nos océans s’acidifient.

Les évènements extrêmes et catastrophes climatiques deviennent de plus en plus réguliers et fréquents, chaleurs caniculaires et incendies, inondations, glissement de terrain, tempêtes, ouragans, cyclones s’intensifient.

La destruction et la sécheresse des sols diminuent la productivité agricole, et fragilise les forêts.

Tandis que pour réparer nos dégâts nous devons dépenser des millions d’euros, autant de réfugiés climatiques affamés et miséreux meurt chaque jour à nos frontières, fuyant leur pays exposé aux pénuries d’eau, aux famines, à la hausse du niveau des mers et aux conflits déclenchés par tout ça.