Le mythe d’une croissance illimitée sur une planète limitée ont mené l’humanité à un point critique de son existence. Dérèglement climatique, effondrement de la biodiversité, déséquilibre des écosystèmes, destruction des espaces naturels, pollution des sols, des eaux et de l’air.
Le vieux monde a atteint ses limites…
Un nouveau monde est en train d’émerger, qui respecte les limites planétaires, la nature et le vivant. Un monde robuste et authentique.
Dans le monde d’après on produit local, en agroécologie ou en permaculture. On favorise les circuits courts et les matériaux biosourcés.
On prône l’artisanat et on consomme raisonné et équitable. On récup, recycle, upcycle. On achète en seconde main, on vise le zéro déchet.
On paie en monnaie complémentaire ou en monnaie libre et on donne, on tip, on troc. On investit dans l’éthique, dans l‘innovation sociale, l’industrie raisonnée, l’économie régénératrice, les entreprises à Mission transparentes, gérées en coopératif.
On est pour l’éducation bienveillante et l’école en plein air. On se retrouve dans les tiers lieux pour coopérer. La démocratie y est participative. On éco-conçois, on éco-construit.
On se déplace avec des véhicules intermédiaires, des transports à voiles et des trains-couchettes. On met en commun, en open source et on utilise le web décentralisé. On fait de l’ingénierie low tech dans les Fab Labs …
Dans le monde d’après on préserve et valorise les écosystèmes existants et on crée des synergies avec la biodiversité alentour.
On parle de biorégions basés sur les espaces naturels.
Dans le monde d’après on produit des énergies renouvelables et décarbonées. On emprunte au soleil, à la terre, à l’eau, à l’air, et on utilise surtout beaucoup de matière grise.
Profiter du paysage, cheveux au vent. Dans le monde d’après on voyage en mode doux et multimodal. Le vélo, les transports en commun, l’auto-partage. Autant de moyen de se bouger sans tout péter.
Local, bio, de saison, et même avec des propriétés nourrissantes ! Dans le monde d’après tu vas pouvoir redécouvrir des mets délicats bons pour ton palais, pour ta santé, et celle de biodiversité.
Il y a du monde dans le monde d’après. Et de la place pour tout le monde. Les écoquartiers, tiers lieux, espaces partagés y sont florès. On vit ensemble, on partage, on s’entraide.
Don, tip, troc, monnaies locales, services d’échanges. Dans le monde d’après, l’argent a de l’odeur, celui de à sa vraie valeur. On parle de prix libre mais juste, et de bonheur intérieur brut.
Découvre LE MONDE D’APRES
et participe à son émergence.
