L’effondrement…
Il était déjà trop tard, mes pieds tremblait sous les secousses. Au loin déjà des vision de déluge, incendies, inondations, pluie acides, eau, air, ciel viciés.
Les conséquences directes de nos existence depuis que nous sommes humain, amplifiée depuis l’ère préindustrielle.
L’extinction de la biodiversité a commencé, 30% des espèces oiseaux, 70% des insectes on déjà disparu.
Selon le rapport Planète Vivante 2024 du WWF, les populations mondiales de vertébrés sauvages ont chuté de 73% depuis 1970, une perte massive qui concerne la quasi-totalité des milieux naturels. Par type d’habitat : les espèces d’eau douce sont les plus touchées (−85%) ; les populations terrestres ont baissé de 69% ; les vertébrés marins affichent un recul de 56%.
La circulation méridionale de retournement Atlantique (AMOC). Cette circulation qui fonctionne comme un tapis roulant transportant la chaleur des eaux chaudes de surface vers le nord, et faisant plonger les eaux froides et salées vers le sud en profondeur.
Une inversion ou un effondrement de ce courant se produirait quand l’eau douce provenant de la fonte des glaces du Groenland diluerait la salinité de l’eau de mer, réduisant sa densité et empêchant ainsi l’eau froide de plonger dans l’océan profond.
Aucunes promesses sérieuse n’a été tenu. Aveuglé par nos histoires et nos outils qui nous ont faire croire tout puissant, nous avons échoué. Les accords des Paris qui visaient à limiter le seuil de 1,5°c de réchauffement à l’horizon 2030 vient d’être dépasser.
Certains gouvernement réagissent, mais trop tard. En France le Plan National d’Adaptation au Changement climatique, qui vise à l’adaptation à +4C à 2100 reste flou.
Personne n’est prêts pour ce qui est en train d’arriver.
Les conséquences indirectes sont font déjà sentir : Rupture d’approvisionnement, black out énergétique, déstabilisation économique et politique, multiplication des conflits, des crises, des migrations, des maladies. La hausse des inégalités, de la violence. L’affaiblissement des états et des démocraties.
Un emballement dont personne ne saurait prévoir l’issue.
Pris de panique, désespéré, je décide d’abandonner ma quête pour tenter de retourner me mettre à l’abri chez moi là ou j’ai grandit, peut-être y serais-je en sécurité.